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Psychologie

Démarré par nora, Novembre 08, 2005, 02:37:48 PM

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nora

Comment vaincre ses peurs ?  itr frown ds

   
Nous pouvons tous être en proie à des phobies qui nous paralysent.

Quelle est la différence entre une peur et une phobie ? Une phobie, c'est une peur que nous n'arrivons pas à contrôler par notre volonté. La peur normale est pénible, mais elle ne déclenche pas d'attaques de panique ; la phobie, si. Un phobique perd tous ses moyens. Une peur normale, même au prix de grandes difficultés, on pourra la surmonter ; alors qu'une peur phobique est quasiment impossible à affronter ou à calmer.

Pourquoi devient-on phobique ?
Une phobie vient d'un mélange d'inné et d'acquis. Nous avons tous des peurs spécifiques. Comme les souris ont une peur innée des chats, l'être humain a une peur innée de la violence, de la séparation, de l'inconnu...
En grandissant, nous allons apprendre à surmonter ces peurs. Sauf si notre environnement ne nous y aide pas, parce que nos parents eux-même manifestent de la peur, par exemple, ou bien parce que nous avons vécu une mauvaise expérience. Ainsi, la peur innée des chiens peut être aggravée et devenir phobique parce vous avez été mordu par un chien, ou que vous avez vu un film avec des chiens méchants... Certaines personnes, de plus, ont davantage d'émotivité que d'autres. La phobie naît donc de l'addition d'une peur génétique, d'un caractère, et d'un vécu.

Comment lutter concrètement contre ses phobies ?
Pour lutter contre ces peurs excessives, il faut d'abord ne pas en avoir honte. Il faut se dire qu'on n'est pas plus responsable de ces peurs que d'avoir une allergie, une hypertension artérielle, ou du diabète... Il ne faut donc pas culpabiliser, mais considérer ses phobies comme le dérèglement d'un phénomène de peur au départ naturel.
Ensuite, pour remettre la peur à sa juste place, il s'agit d'apprendre à la maîtriser, avec des travaux pratiques. Ces "exercices" consistent à se confronter à sa peur, de manière progressive et surtout très régulière. En faisant ce travail de manière consciencieuse, on arrive à modifier sa biologie de la peur : le cerveau, ou plus exactement l'amygdale cérébrale qui est le centre de la peur, commence à réagir différemment.

Quel est le travail psychologique à effectuer en complément de ces exercices pratiques ?
Effectivement, il ne faut pas se contenter du "passage en force" par la pratique, mais complèter par une approche psychologique. La psychanalyse peut être utile pour remonter aux origines de la peur et les décrypter.
Mais il faut surtout développer ce que j'appelle une "sagesse de la peur" : accepter de regarder en face les scénarios-catastrophe. Les phobiques des chiens ont peur de se faire mordre, les claustrophobes de s'étouffer, les phobiques sociaux d'avoir des remarques désobligeantes... On demande au patient d'accepter que cela puisse arriver.
Personne ne peut vivre avec le risque zéro. On ne peut par exemple pas espérer qu'on ne sera jamais ridicule en public, qu'on n'aura jamais d'accident, etc... La solution n'est pas de verrouiller sa vie pour essayer que cela n'arrive pas, mais d'intégrer que ces choses-là font partie des risques de la vie...


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nora

Acheter beaucoup, est-ce vraiment une pathologie ? N'est-ce pas simplement de la frivolité ?  lv lv lv


Pour la très grande majorité des gens, la consommation relève de la frivolité, pas de la pathologie. Franchement, qui a besoin d'un vêtement griffé, ou d'une montre de collection ? Personne. Pourtant, certains vont à l'étranger dans le but de dénicher le dernier article mode Prada ou la dernière pièce de collection Cartier. Ces gens consomment beaucoup, mais ils ne sont pas nécessairement malades pour autant. Plusieurs apprécient le beau, le bon, le différent, et le suprême ! Je suis d'avis que le shopping, lorsqu'il est fait à la mesure de ses moyens, est une activité de loisir comme le golf, le ski alpin, ou la lecture. Mais, comme il procure une source de plaisir, de fierté, et d'apaisement, le shopping peut devenir une dépendance. Et de cela, il faut s'en préoccuper.

Cette dépendance est donc bien réelle ?
Quelques études s'entendent pour dire qu'il y aurait environ 1 % de la population générale qui serait aux prises avec un problème d'achats compulsifs, dont 80 à 95 % seraient des femmes. Cela explique pourquoi mon livre s'adresse plus spécifiquement aux femmes. Mais, qu'est-ce qu'une dépendance ? À partir de quand  'j'achète trop' devient-il trop ? La frontière entre la passion et la pathologie est souvent difficile à tirer. Cependant, il existe trois repères simples qui sont une sonnette d'alarme. Une personne risque de développer un problème lorsqu'elle pense de plus en plus souvent à ses achats. Certains spécialistes parlent alors d'obsession envers les achats. En plus d'être préoccupée par ses achats, la personne dépendante perd de plus en plus le contrôle : elle achète pour acheter. Elle se retrouve rapidement dans un paradoxe qui lui fait vivre une forte culpabilité, mais elle se sent incapable de résister à ses envies d'acheter.

Comment prendre conscience de cette dépendance ?
Votre budget est probablement le repère le plus simple : ça ne ment jamais ! Mais, puisque tout n'est pas qu'une question d'argent, d'autres indices existent. Avez-vous commencé à mentir à propos de vos achats ? Vous sentez-vous coupable d'acheter ce que vous achetez? Vous arrive-t-il de regretter certains achats au point de les cacher, les donner ou même les jeter ? Avez-vous de la difficulté à refuser les offres postales ? Certains proches vous sermonnent-ils quant à vos achats ? Et, au fond de vous, ressentez-vous un malaise quant à votre propre façon de consommer ? Dès que le shopping fait vivre une détresse personnelle, il y a lieu de croire qu'il est devenu problématique.

L'achat compulsif est-il un phénomène typiquement féminin ?
Comme je l'ai dit, il y a davantage de femmes que d'hommes aux prises avec un problème d'achats. Il importe toutefois de réaliser que la socialisation des femmes passe souvent par le shopping : c'est une activité prisée dès le plus jeune âge par une grande majorité d'adolescentes. Cela pourrait expliquer une plus grande vulnérabilité. Les femmes consomment différemment des hommes. Elles se tournent davantage vers de petits objets qui rehaussent l'image du corps : souliers, parfums, bijoux, etc. Pour leur part, les hommes privilégieraient les objets fonctionnels (outils, chaises, voitures, etc.). Cela étant dit, il existe de tout, il serait donc dommage de s'en tenir à ses généralisations.

Quelle est la nature du plaisir que procure un achat ?
Le plaisir est une dimension encore mal définie. Dans mon livre, chaque acheteuse a la possibilité d'identifier son style, et ainsi de mieux comprendre ce qui la pousse à consommer. Pour certaines acheteuses sensuelles, le plaisir du shopping relève presque par moment du plaisir. Les acheteuses raffinées y trouvent un plaisir s'apparentant davantage à la fierté. Quant aux acheteuses intenses, elles profitent d'un répit à leur insécurité par le biais des achats. Évidemment, une personne qui ressent physiquement l'émotion du plaisir lorsqu'elle fait des achats sera davantage portée à en faire d'autres. Les gens aiment cette sensation de plaisir, ils veulent donc la reproduire.

Quelles en sont les conséquences négatives ?
Les conséquences aux achats compulsifs peuvent devenir très lourdes. L'endettement, les emprunts, les mensonges, la honte, la culpabilité, les pertes d'amis, l'éclatement familial, l'insomnie, la saisie des biens, la négligence parentale, et les paniques en sont des exemples. Malheureusement, les possibilités de crédits retardent parfois l'explosion du problème, et font même qu'il empire. La honte entraîne le repli sur soi. Les acheteuses compulsives n'ont pas tendance à en parler ouvertement. Pourtant, ce problème n'est pas plus honteux qu'un problème d'alcool ou de jeu. C'est en brisant le mur du silence qu'on augmente les chances de rompre le cycle des conséquences négatives.

Existe-t-il un profil type de l'acheteuse ?
Si on se laisse aller à généraliser, il semblerait que l'acheteuse compulsive typique aurait entre 30 et 40 ans. Son problème aurait débuté à l'adolescence, et il serait devenu chronique depuis une dizaine d'années. Son impulsion d'acheter durerait à chaque fois environ une heure. Selon ce profil, cette acheteuse utiliserait peu les biens qu'elle achète avec ses multiples cartes de crédit. Elle aurait tendance à faire les boutiques en solitaire, et à faire plusieurs cadeaux. Ses achats lui serviraient souvent à combattre une humeur triste. Évidemment, beaucoup d'autres profils existent. 
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nora

Le célibat

Les femmes abordent-elles le célibat différemment des hommes ?
Oui. Les femmes se sentent mieux chez elles, elles aménagent leur appartement joliment et par conséquent, sortent moins que les hommes. Les femmes acceptent mieux de vivre seules, tandis que chez les hommes, il y a une question d'orgueil : ils refusent la solitude.

Y a-t-il une recette pour être célibataire et heureuse ?
La solution, c'est la sociabilité. Une célibataire sociable est une célibataire heureuse. Il faut sortir, voir des gens, ne pas avoir peur de parler avec des inconnus. Le répertoire d'une célibataire heureuse est rempli de 30 ou 40 noms de personnes célibataires. En couple, la vie est tournée vers l'intérieur, et quand on est célibataire, c'est tout le contraire. Mais c'est une question d'éducation, on ne s'improvise pas sociable. Si l'on est trop timide, on manque de confiance en soi et on ne va pas vers les autres.

Comment combler le manque affectif ?
Ressentir un manque affectif n'est pas spécifique aux célibataires ! On peut être en couple et ne pas être aimé comme on aurait voulu l'être. Le manque affectif nous vient souvent de l'enfance, il n'est pas forcément lié au célibat. Sinon cela reviendrait à prendre l'autre pour un anti-dépresseur qui vient combler un vide. Le secret, c'est d'avoir quatre ou cinq vrais amis avec lesquels on peut échanger, partager, dialoguer et se confier. Car dans l'amitié, il y a les mêmes ingrédients que dans l'amour à savoir la confiance et l'acceptation de l'autre tel qu'il est. Cela compense le manque affectif.

Et la solitude ?
Pour une célibataire heureuse, la solitude n'existe pas. Si l'on sort, si l'on est bien entourée, on ne se sent jamais seule. Et la solitude devient alors un besoin.

Pourquoi y a-t-il de plus en plus de célibataires ?
En France par exemple, le nombre de célibataires a triplé depuis 20 ans. Ils sont désormais près de 11 millions. Cela tient en partie à la libération des femmes, qui ne sont plus obligées de rester avec un homme qui les entretient. Par ailleurs, les divorcés sont de plus en plus nombreux, grâce à la loi de 1975 qui a simplifié le divorce. Et les gens se séparent plus qu'autrefois. On se retrouve donc avec beaucoup de veufs, de divorcés ou séparés qui viennent grossir la masse des célibataires. Enfin, dernière raison : la peur de s'engager suite à une expérience douloureuse ou simplement parce qu'on ne veut pas se tromper de personne.

Sentent-ils toujours la pression sociale ?
On a beau être au XXIe siècle, la pression sociale pèse toujours sur eux. Les médias contribuent à donner une image négative du célibat en le présentant comme une tare, une maladie. Et les amis, les couples mariés surtout, ne peuvent pas s'empêcher de jouer les marieurs. Dans les milieux traditionnels, le mariage est obligatoire, et lorsqu'une femme arrive à 30 ans, elle s'entend dire : "t'es pas capable de trouver un mec".
  lm
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nora

#3
Comment se débarrasser de nos complexes ?
 
Trop petite, trop grande, trop grosse, trop maigre... Nous avons toutes nos complexes, et nous pouvons en souffrir. Les conseils d'un psychiatre pour se sentir mieux dans sa peau :

Qu'est-ce qu'un complexe ?
Le complexe, c'est la conscience de ses défauts, qu'ils soient réels ou imaginaires. Il y a des complexes normaux et des complexes pathologiques. On peut être conscient qu'on n'est pas bon en maths, tout en ne se noyant pas dans ce complexe : on sait quand même qu'on a d'autres qualités, on arrive à penser à autre chose, notre vie sociale n'en est pas gâchée.
Mais dans le cas des complexes pathologiques, toute notre attention est ramenée en permanence à ce problème. On ne voit plus que ça. On commence à avoir des perturbations de notre comportement pour cacher notre complexe : soit le masquer, s'il s'agit d'un défaut physique, soit se tenir en retrait, s'il s'agit d'un défaut intellectuel...

Que faire pour vaincre nos complexes ?
Les complexes sont évidemment très liés à l'estime de soi. La première étape indispensable, c'est donc de comprendre que le problème réside dans notre propre regard sur nous-mêmes, pas dans celui des autres. On demande aux gens complexés de travailler sur la notion d'acceptation de soi, de comprendre qu'ils peuvent être aimés même avec des défauts.
Ensuite, il faut arrêter les auto-verbalisations dévalorisantes : vous savez, ce genre de discours intérieur où l'on se répète en permanence " je suis laid, je suis laid...". Il faut avoir un rapport amical avec soi-même. A chaque fois que l'on se dit quelque chose de désagréable sur soi-même, il faut se demander si l'on aurait dit une chose pareille à son meilleur ami. Si c'était votre meilleur ami et non vous qui aviez raté un examen, vous n'iriez pas lui dire "T'es vraiment nul, tu ne réussiras jamais rien" ? Non, n'est-ce pas. Alors, pourquoi vous le dites-vous à vous-même ?
Dernière étape : faire des "épreuves de réalité". C'est-à-dire demander aux gens complexés d'arrêter les "stratégies d'évitement" qu'ils avaient mises en place pour masquer leurs défauts. Exemple : c'est normal de vouloir se mettre en valeur, mais c'est anormal, quand on est à la plage avec des amis, de se priver de baignade juste parce qu'on a peur de se mettre en maillot. On va donc leur demander d'arrêter ce genre de comportement. Le but : leur faire constater que s'ls ne masquent plus leur défaut, eh bien, rien de terrible ne va se passer.

Que dire pour rassurer un complexé ?
Quelqu'un de complexé pense qu'à cause de son défaut, il n'est plus aimable ni respectable. Il faut donc lui montrer l'inverse, lui prouver qu'il est aimable, le sécuriser.
Mais il vaut mieux ne pas engager de "bras de fer" pour démontrer à tout prix à la personne qu'elle n'a aucune raison d'être complexée. Soyez sincère : c'est plus simple de dire "eh bien oui, il y a peut-être des nez plus droits que le tien, mais tu as tellement d'autres qualités que ce n'est pas cela qu'on regarde en premier".
  ,th
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nora

Comment prendre confiance en soi ?
   
La timidité, c'est un défaut mignon... mais qui peut gâcher la vie si elle est trop prononcée. Les conseils d'un psychiatre pour arriver à mieux s'affirmer en société.

Pourquoi certaines personnes n'arrivent-elles pas à s'affirmer ?
La timidité est en général due à l'éducation, au milieu familial. On peut devenir timide parce que ses propres parents sont inhibés... ou bien, au contraire, parce que ses parents ont été trop envahissants, trop exubérants.
La timidité est le problème que l'on rencontre le plus fréquemment. Des gens qui ont du mal à dire ce qu'il pensent, à refuser des choses, à recevoir des compliments... Mais l'agressivité aussi est un problème d'affirmation de soi : c'est la même difficulté à communiquer correctement avec les autres.
Or il est très important de savoir communiquer : si j'ose dire, quand la relation va, tout va. Quand on améliore la relation aux autres, on améliore la confiance en soi, les succès amoureux, la réussite professionnelle... Statistiquement, les gens qui ont confiance en eux ont moins de risques de faire une dépression que les autres.

Comment peut-on corriger la timidité ?
Un travail d'entraînement pratique vise à déterminer d'abord quelles difficultés exactes on rencontre. Est-ce plutôt une timidité à parler en public ? A faire entendre son opinion dans un petit groupe ? A faire des rencontres ?
A partir de là, on sait sur quel type de relation aux autres il faut travailler. La méthode, qu'on peut tout à fait exécuter tout seul avec un bon ouvrage, consiste à "faire des crises de calme" en situation.
Lors d'un jeu de rôle organisé par le psychiatre, les participants rejouent une situation stressante et essaient de la gérer dans le calme. Après, ils se notent : ont-ils réussi à gérer la situation ? Ont-ils su (r)établir un dialogue ? Améliorer la relation ? Se sentent-ils bien après la crise ?

Ces jeux de rôle suffisent-ils à transformer un timide ?
La plupart du temps, ils marchent spectaculairement bien. Mais si la personne est vraiment atteinte d'une phobie sociale handicapante (agoraphobie, par exemple) il vaut mieux qu'elle consulte un psychiatre, qui décidera ensuite si elle doit suivre une thérapie seule ou en groupe.
De même, si le problème d'affirmation résulte d'un profond manque d'estimation de soi-même, une thérapie comportementale ne suffira pas : il faut alors se tourner vers une psychothérapie profonde, ou une psychanalyse


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nora

Trou de mémoire:
Petits trucs pour faire travailler et améliorer sa mémoire. itr


Qui est qui? Reconnaître un visage, certains sont physionomistes,d'autre pas. Pourtant, mémoriser un visage et le reconnaître quelque temps plus tard est à la portée de tout le monde.Lorsque l'on croise quelqu'un pour la première fois, il faut:

Marquer une pause au lieu de jeter un bref coup d'oeil afin de regarder le visage de son interlocuteur.
Repérer l'apparence générale du visage mais aussi les traits qui dominent et qui se révèlent marquants/ visage rond ou long, peau mate ou claire, nez fin ou long, lèvres pulpeuses ou minces, mais aussi cheveux à la lionne pour une femme, ou coupés très court pour un homme.
S'arrêter encore un moment, au moins trente secondes, sur ces traits et faire l'effort de les revoir mentalement pour mieux les fixer.
Procéder à la vérification. Passer mentalement en revue les principaux détails afin de renforcer la mémorisation et s'assurer que l'on a bien les éléments en tête.


LES ENNEMIS DE LA MEMOIRE SONT:

Se souvenir d'un nom: Monsieur...comment déjà? Ce nom que l'on a sur le bout de la langue ou que l'on déforme à plaisir. Manque de mémoire? Non, le plus souvent, c'est un manque d'attention. Mémoriser un nom ne va pas de soi. Le travail commence dès les présentations.

Premier impératif: bien comprendre le nom de son interlocuteur et le répéter en le saluant
Faire des associations. Pour certains noms, cela va de soi. Monsieur Courtecuisse, amusant et cocasse, sera retenu sans aucune difficulté. Pour les autres, il faut faire preuve d'un peu d'imagination. A chacun de trouver des associations qui, le moment voulu, permettront le rappel du nom. Ainsi, Madame Stella fera penser à une étoile. Monsieur Créach pourra faire penser à la création.
Fixer ensuite l'association en l'imaginant.
Enfin, répéter le nom mentalement en visualisant cette image.
A savoir, il n'est guère possible de retenir plus de cinq ou six noms au cours d'une soirée.


Où les ai-je posés? A chaque fois, c'est la même chose, impossible de retrouver ses clés, ses lunettes, sa voiture...Trou de mémoire? Non, faute d'attention. Même si les actes manqués, comme les appellent les psys, existent, on égare des objets, tout simplement parce qu'on les pose ou les range par automatisme, sans penser à ce que l'on fait.

Pour retrouver sa voiture dans un parking: prendre le temps de noter mentalement le numéro de place, visualiser les couleurs s'il y en a, l'espace ainsi que l'étage. Simple, mais on n'y pense pas toujours. Idem dans la rue: regarder le nom de la rue, l'enseigne d'une boutique, la couleur d'une porte cochère. Autant de repères qui permettront de ne pas faire plusieurs fois le tour du quartier .
Pour retrouver ses clés: ne plus les poser machinalement, comme c'est le cas le plus souvent. Prendre quelques secondes pour se photographier mentalement et se dire "Je pose mes clés sur la table de la cuisine" à côté du dessous de plat.


C'était quand, au fait? Que faisiez-vous, tel jour à telle date? Difficile, sans autres indices, de donner une réponse. En réfléchissant un peu, cela n'est pas si compliqué. En général, les événements ont été mémorisés à notre insu. Les indices ont une valeur incontestable et ce sont eux qui vont démêler l'écheveau du souvenir.

Comment faire? Tâchez de retrouver un événement marquant. C'était le jour de la mort de Lady Di, ou celui de l'anniversaire d'un ami proche, par exemple. Immédiatement, il devient plus facile, à partir de ces éléments, de retracer le fil de cette journée. Même chose si l'on vous demande les noms de vos camarades de classe. Il suffit souvent de se souvenir d'un fait précis de cette année scolaire ou de se remémorer la salle de classe. A fortiori si l'on a une photographie, un grand nombre de noms reviendront alors à l'esprit.
A faire: lorsque l'on a du mal à retrouver une information ancienne, la visualisation du cadre, de l'ambiance, de la situation suffisent parfois. Se souvenir aussi de détails précis:"C'est l'année ou j'avais les cheveux courts" ou "c'est avant le mariage de Pierre", autant d'indices qui permettent peu à peu de se situer dans le temps. 
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nora

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twinny18

#7
hl Oui nora j'ai commencé les tests voici le résulat de "bonheur et aboutissement"

Devise : S'assoir et savourer

C'est un bonheur de bien au monde,mais mentalisé,ressentit plus dans le recul que
dans l'action.

Le bonheur d'action,représente une puissante source d'énergie pour entreprendre et
construire,contrairement à ce que l'on entend souvent, le bonheur est parfaitement
compatible avec la créativité et la motivation.

désolé j'ai fait un résumé, mais ça me fait drôle, de lire ça noir sur blanc.
en effet,les gens me disent souvent ça et personnellement je ne me rend
pas toujours compte de l'énergie que j'emplois pour mon prochain.

merci nora

à bientôt
un sourire ne coùte rien, mais peut faire tant de bien.


twinny18

 ;t   "Qu'avez-vous fait de vos regrets ?


Les regrets transformés,


Vous avez face au regrets, une atitude active,vous aimez les bousculer, les regarder
en face et ne pas les laisser générer leur inexorable amertumes.

Aussi animé d'un esprit volontaire et pragmatique, vous partez du principe qu'il n'est
jamais trop tard, pour réaliser ses rèves, modifier ses comportements et apprendre à
saisir les occasions.

Vous savez tirer les leçons de vos erreurs de parcours au jugement passé.

Par ailleus, vous  êtes capable d'effectuer un tri positif entre les regrets
"transformables"  et ceux dont ils faut faire faire le deuil.


Votre attitude est principalament motivée par l'envie de ne pas vous retrouver frustrée
plus tard,par des chôse que vous auriez évitées ou repoussées par peur d'échouer ou
pour manque de de maturité.

Pointe aussi en vous, un besoin de perfectionqui vous amène pafois à vous acharner
sur d'anciens désirs , alors qu'ils n'ont vraiment plus de raisons de raisons d'être.

Quoi qu'il en soit , vous savez aborder et transformer vos regrets en créativité,
motivation et détermination.... bravo!

sur une si bonne voie on va continuer.

à bientôt



un sourire ne coùte rien, mais peut faire tant de bien.


edvy

Citation de: nora le Novembre 13, 2005, 06:03:33 PM
;t 130 TESTS ICI !!!! ;t

aas

http://www.psychologies.com/cfml/test/


Super géniale Nora, ,thu

Je vais pouvoir passer du temps avec tous ces 130 tests psychologiques surtout que j'adore ça car on apprend souvent sur soi-même !  ;D Merci encore pour tes recherches... :cl

A bientôt et bisous hl
Il y a au fond de vous-même tout ce dont vous avez besoin pour vivre dans le bonheur et la plénitude

twinny18

#10
 ;t Vous aimez-vous !

Physique ,psychisme et moral, pas de problèmes,vous vivez en accord avec vous même
. En fait vous vous êtes "identifié" une fois pour toutes le jour de votre majorité,avec vos qualités et vos défauts. Ce sont les autres maintenants qui doivent vous reconnaîtres et vous accepter.

Naturelle dès l'aube, vous n'avez jamais peur de vous montrer telle que vous êtes.
Capable d'aborder une mode originale ou d'adopter les habitudes inatendues, vous revendiquez le droit d'être différente, de penser et de faire ce que vous voulez.
d'être vous , réelle, concrète.

décontracté vous vous sentez bien dans votre peau. Tout ce qui ne vous semble pas intelligent est tabou pour vous et sans nier vos imperfections vous tenez à les corriger et à en tirer avantage, en incistant parfois trop peut être.

Mais vous n'éludez pas vos problémes, ni ne renoncez à vos rèves. La force d'âme,la
tendresse, avoir un idéal ou le gout dela beauté.

Vousparaissent possible à maitriser, tandit qu'xister pour les autres vous permet de vous assumer.

D'ailleurvous vous remettezsouvent en question,mais pas trop,parce que après tout cette energie que vous n'utilisez pas à être autre que ce celle que vous ête en realité.
vous la consacrez à faire des chôses qui vous pationnent.

En créant écriture,musique,peinture, bricolage,cuisine,jardinage etc...,ou en aimant la vie que vous menez.

En tout cas vous laissez respirer autour de vous.

voilà je voulais juste te monterer que ces tests m'interressaient.

à bientôt



un sourire ne coùte rien, mais peut faire tant de bien.


twinny18

Citation de: edvy le Novembre 21, 2005, 10:35:40 PM
Citation de: nora le Novembre 13, 2005, 06:03:33 PM
;t 130 TESTS ICI !!!! ;t

aas

http://www.psychologies.com/cfml/test/


Super géniale Nora, ,thu

Je vais pouvoir passer du temps avec tous ces 130 tests psychologiques surtout que j'adore ça car on apprend souvent sur soi-même !  ;D Merci encore pour tes recherches... :cl

A bientôt et bisous hl



oui vraiment bien ces tests nora, bien trouvé merci, déja quelques un de fait et j'ai mis
les résultat pour te prouver que je m'y interressais.

merci le reste je les ferais au fur et à mesure, car c'est une fois important de se découvrir.

merci et à bientôt
un sourire ne coùte rien, mais peut faire tant de bien.


nora

  ;D  Merci Twinny et Edvy  aas aas aas

C'est gentil à vous de me remercier  ,wr
J'ai trouvé que ça pouvait intéresser nos membres.
C'est vrai qu'on ne se connait jamais assez et que parfois ça peut nous aider à faire notre propre profil psychologique.

Bonne continuation à vous deux alors, si vous faîtes d'autres tests...C'est amusant en plus.  :n

hl @+


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