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Discussions générales / Poèmes, proverbes et citations
« le: juin 23, 2014, 11:55:54 am »
" La plus grande douceur de la vie, c'est d'admirer ce qu'on aime." Laure Conan
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Discussions générales / Bonne fête des Pères 2014 à tous les doc-computersiens !
« le: juin 15, 2014, 01:06:59 pm »
Chaque année, dans le courant de mois de juin, nous fêtons nos papas dans le monde entier. Nous les remercions de leur protection, du temps passé avec eux et surtout de l'amour qu'ils nous ont donné et nous donnent depuis notre naissance.
Tout comme nos mamans déjà fêtées au moi de mai, ils jouent un rôle essentiel dans le développement et l'équilibre des enfants même devenus grands, ils continuent à nous apporter leur bienveillance et leur amour. C'est pourquoi, au delà de la fête commerciale qui peut déranger certains, ils méritent d'être fêtés également.
Alors, au nom de toute l'équipe de Doc-computers, je souhaite à tous les papas doc-computersiens ou simples visiteurs, une très bonne fête entourée de leur progéniture qui ne manquera pas de lui exprimer leurs marques d'affection par divers cadeaux et gestes d'amour...
Tout comme nos mamans déjà fêtées au moi de mai, ils jouent un rôle essentiel dans le développement et l'équilibre des enfants même devenus grands, ils continuent à nous apporter leur bienveillance et leur amour. C'est pourquoi, au delà de la fête commerciale qui peut déranger certains, ils méritent d'être fêtés également.
Alors, au nom de toute l'équipe de Doc-computers, je souhaite à tous les papas doc-computersiens ou simples visiteurs, une très bonne fête entourée de leur progéniture qui ne manquera pas de lui exprimer leurs marques d'affection par divers cadeaux et gestes d'amour...
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Discussions générales / Savoir vivre : le retour des bonnes manières
« le: juin 12, 2014, 02:54:03 pm »
Les bonnes manières ! Elles reviennent en force. Pour preuve : les livres qui sortent et les écoles qui fleurissent depuis plus d’un an. Et nous ? Connaissons-nous tous les codes du savoir-vivre en société pour les transmettre à nos bambins ? Savons-nous être l’invitée parfaite d’un dîner mondain ? Petit vrai/faux pour faire le point.
Est-ce enfin le retour du savoir vivre et des bonnes manières ? Voici un tour d’horizon des idées reçues sur les bonnes manières. Vrai ou Faux ?
Savoir vivre : Invitée à dîner pour la première fois chez des connaissances, on offre un bouquet de fleurs à la maîtresse de maison.
FAUX. Le bouquet de fleur embarrasse la maîtresse de maison au moment où elle reçoit ses invités. La bouteille de vin est aussi délicate : la cuisinière a souvent prévu de quoi accompagner ses mets. On préfèrera donc un petit cadeau, comme des friandises raffinées qu’elle servira avec le café.
Comble des bonnes manières : le bouquet peut être envoyé dans la journée, avant le dîner ou le lendemain en guise de remerciement.
Bonnes manières : on attend que la maîtresse de maison nous invite à nous servir pour le faire.
VRAI. Il est assez mal vu de se précipiter sur le plat pour se servir avant tout le monde. Quand on se sert, on ne choisit pas le plus beau morceau mais celui qui est juste devant soi.
Comble des bonnes manières : on n’oublie pas de reposer les couverts du service dans le plat, les dents de la fourchette tournées vers le haut, et la face bombée de la cuillère vers le haut également.
Savoir vivre : Avant de planter sa fourchette dans son assiette, on souhaite le bon appétit à toute la tablée.
FAUX. Lancer un « bon appétit » revient à dire « bon estomac » ou « bon transit », et donc à rappeler que nous satisfaisons à table un besoin animal. On l’évite absolument dans un dîner mondain.
Comble du savoir vivre : quand une personne ose un « bon appétit », on répond simplement « vous aussi » pour ne pas la mettre mal à l’aise.
Bonnes manières : on pose ses couverts à « 4h20 » dans son assiette quand on a terminé.
VRAI. En effet, on ne croise jamais ses couverts dans l’assiette, mais on les range parallèles l’un à l’autre à « 4h20 ».
Comble du raffinement : on veille Ă positionner les dents de la fourchette vers le haut et on tourne la lame du couteau vers la fourchette.
Savoir vivre : on ne coupe ni la salade ni les pâtes avec un couteau.
VRAI. On n’utilise pas de couteau pour la salade et les pâtes mais pas plus pour le poisson, le pain, les œufs, le foie gras ou les pâtisseries. Pour la salade, on la replie avec un petit morceau de pain. Car fut un temps où la sauce oxydait les couverts. Les pâtes, elles, s’enroulent autour de la fourchette. Les œufs sont décapités à coups de cuillère.
Comble des bonnes manières : on déguste le foie gras à la fourchette.
Les bonnes manières sont donc une foule de petits détails. Des petits riens qui montrent un grand respect pour les autres. Quoi de plus noble, finalement, à transmettre à nos enfants !
Est-ce enfin le retour du savoir vivre et des bonnes manières ? Voici un tour d’horizon des idées reçues sur les bonnes manières. Vrai ou Faux ?
Savoir vivre : Invitée à dîner pour la première fois chez des connaissances, on offre un bouquet de fleurs à la maîtresse de maison.
FAUX. Le bouquet de fleur embarrasse la maîtresse de maison au moment où elle reçoit ses invités. La bouteille de vin est aussi délicate : la cuisinière a souvent prévu de quoi accompagner ses mets. On préfèrera donc un petit cadeau, comme des friandises raffinées qu’elle servira avec le café.
Comble des bonnes manières : le bouquet peut être envoyé dans la journée, avant le dîner ou le lendemain en guise de remerciement.
Bonnes manières : on attend que la maîtresse de maison nous invite à nous servir pour le faire.
VRAI. Il est assez mal vu de se précipiter sur le plat pour se servir avant tout le monde. Quand on se sert, on ne choisit pas le plus beau morceau mais celui qui est juste devant soi.
Comble des bonnes manières : on n’oublie pas de reposer les couverts du service dans le plat, les dents de la fourchette tournées vers le haut, et la face bombée de la cuillère vers le haut également.
Savoir vivre : Avant de planter sa fourchette dans son assiette, on souhaite le bon appétit à toute la tablée.
FAUX. Lancer un « bon appétit » revient à dire « bon estomac » ou « bon transit », et donc à rappeler que nous satisfaisons à table un besoin animal. On l’évite absolument dans un dîner mondain.
Comble du savoir vivre : quand une personne ose un « bon appétit », on répond simplement « vous aussi » pour ne pas la mettre mal à l’aise.
Bonnes manières : on pose ses couverts à « 4h20 » dans son assiette quand on a terminé.
VRAI. En effet, on ne croise jamais ses couverts dans l’assiette, mais on les range parallèles l’un à l’autre à « 4h20 ».
Comble du raffinement : on veille Ă positionner les dents de la fourchette vers le haut et on tourne la lame du couteau vers la fourchette.
Savoir vivre : on ne coupe ni la salade ni les pâtes avec un couteau.
VRAI. On n’utilise pas de couteau pour la salade et les pâtes mais pas plus pour le poisson, le pain, les œufs, le foie gras ou les pâtisseries. Pour la salade, on la replie avec un petit morceau de pain. Car fut un temps où la sauce oxydait les couverts. Les pâtes, elles, s’enroulent autour de la fourchette. Les œufs sont décapités à coups de cuillère.
Comble des bonnes manières : on déguste le foie gras à la fourchette.
Les bonnes manières sont donc une foule de petits détails. Des petits riens qui montrent un grand respect pour les autres. Quoi de plus noble, finalement, à transmettre à nos enfants !
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Discussions générales / Sommeil à deux, couple heureux !
« le: juin 10, 2014, 08:30:25 pm »
Qu'un couple arrive ou non à synchroniser ses habitudes de sommeil serait lié au degré de satisfaction qu'éprouve une femme envers son mariage, selon une nouvelle étude.
Une nouvelle étude qui suggère qu'un sommeil synchronisé pourrait être un indicateur de la satisfaction d'une femme envers son mariage.
"La plupart des connaissances sur le sommeil dont l'on dispose ont été acquises à travers des études au niveau individuel; cependant, pour la plupart des adultes, le sommeil est un comportement que partagent ceux qui dorment dans le même lit", a déclaré Heather Gunn, auteur principale de l'étude et chercheuse postdoctorale à l'université de Pittsburg. "La façon dont les couples dorment ensemble influencerait et serait influencée par la façon dont leur relation fonctionne".
Les chercheurs ont suivi les habitudes de sommeil de 46 couples sur une période de 10 jours. Ils ont demandé à chaque participant d'évaluer leur relation. Les résultats montrent que les couples étaient éveillés ou endormis en même temps 75% du temps en moyenne, et que ce chiffre augmentait avec le niveau de satisfaction des femmes.
"Le sommeil des couples mariés est davantage synchronisé, minute par minute, que le sommeil d'individus choisis au hasard", explique Heather Gunn. "Cela suggère que nos habitudes de sommeil sont régulées non seulement par le moment où l'on dort, mais aussi par la personne avec qui l'on dort".
En 2010, Wendy M. Troxel, professeur adjointe en psychiatrie à la Faculté de médecine de l'université de Pittsburg, a réalisé une étude qui a mis en évidence que partager leur lit avec leur partenaire entraînait un sommeil de meilleure qualité chez les femmes.
L'année suivante, Wendy Troxel s'est lancée dans de nouvelles recherches qui ont conclu que des interactions négatives dans les couples avaient plus de chance d'avoir lieu si la femme était celle qui avait mal dormi que si c'était son mari qui avait passé une mauvaise nuit.
"Nous avons découvert que les troubles du sommeil des femmes affectent leurs relations de couple le jour suivant, et que ces effets sont indépendants de symptômes dépressifs", indique Wendy Troxel. Plus précisément, les femmes qui ont mis plus longtemps à s'endormir la veille ont fait état de relations de couple moins bonnes le lendemain, et leurs maris, également.
Des résumés de l'étude de Heather Gunn et de celle de Wendy Troxel (2011) ont été publiés dans un supplément en ligne du journal Sleep.
Une nouvelle étude qui suggère qu'un sommeil synchronisé pourrait être un indicateur de la satisfaction d'une femme envers son mariage.
"La plupart des connaissances sur le sommeil dont l'on dispose ont été acquises à travers des études au niveau individuel; cependant, pour la plupart des adultes, le sommeil est un comportement que partagent ceux qui dorment dans le même lit", a déclaré Heather Gunn, auteur principale de l'étude et chercheuse postdoctorale à l'université de Pittsburg. "La façon dont les couples dorment ensemble influencerait et serait influencée par la façon dont leur relation fonctionne".
Les chercheurs ont suivi les habitudes de sommeil de 46 couples sur une période de 10 jours. Ils ont demandé à chaque participant d'évaluer leur relation. Les résultats montrent que les couples étaient éveillés ou endormis en même temps 75% du temps en moyenne, et que ce chiffre augmentait avec le niveau de satisfaction des femmes.
"Le sommeil des couples mariés est davantage synchronisé, minute par minute, que le sommeil d'individus choisis au hasard", explique Heather Gunn. "Cela suggère que nos habitudes de sommeil sont régulées non seulement par le moment où l'on dort, mais aussi par la personne avec qui l'on dort".
En 2010, Wendy M. Troxel, professeur adjointe en psychiatrie à la Faculté de médecine de l'université de Pittsburg, a réalisé une étude qui a mis en évidence que partager leur lit avec leur partenaire entraînait un sommeil de meilleure qualité chez les femmes.
L'année suivante, Wendy Troxel s'est lancée dans de nouvelles recherches qui ont conclu que des interactions négatives dans les couples avaient plus de chance d'avoir lieu si la femme était celle qui avait mal dormi que si c'était son mari qui avait passé une mauvaise nuit.
"Nous avons découvert que les troubles du sommeil des femmes affectent leurs relations de couple le jour suivant, et que ces effets sont indépendants de symptômes dépressifs", indique Wendy Troxel. Plus précisément, les femmes qui ont mis plus longtemps à s'endormir la veille ont fait état de relations de couple moins bonnes le lendemain, et leurs maris, également.
Des résumés de l'étude de Heather Gunn et de celle de Wendy Troxel (2011) ont été publiés dans un supplément en ligne du journal Sleep.
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Discussions générales / Les femmes déprimées grignotent plus !
« le: juin 06, 2014, 09:10:40 pm »
Manger sous le coup de l’émotion, cela peut arriver à tout le monde. Mais à certains plus qu’à d’autres : en effet, d’après le résultat d’une étude parue dans Journal of Nutrition, les femmes dépressives seraient celles qui auraient le plus tendance à "l’émotionnalité alimentaire". L’objet de leur convoitise ? Des aliments gras et sucrés, riches en calories vides.
Les femmes présentant des symptômes dépressifs sont plus susceptibles de manger des aliments gras et sucrés quand elles cèdent à une pulsion alimentaire dictée par les émotions.
Connues pour leur gourmandise, les femmes seraient-elles effectivement plus à même de manger plus sous l’impulsion d’une émotion négative ? Ou est-ce seulement une vue de l’esprit ? D’ailleurs, que mange-t-on dans ces cas-là ?
Manger sous le coup de l’émotion
Géraldine Camilleri et Sandrine Péneau, de l’équipe de l’étude NutriNet Santé, ont étudié l’association entre le fait de manger sous le coup des émotions et la consommation alimentaire d’une part et l’influence de la symptomatologie dépressive d’autre part. Pour ce faire, elles ont analysé les réponses de 30 240 adultes participant à l’étude NutriNet. Ils avaient répondu à au moins 6 questionnaires alimentaires, dont un plus spécifique sur la propension à "l’émotionalité alimentaire".
Résultat, les personnes présentant des symptômes dépressifs ont plus tendance à manger sous le coup de l’émotion (60%) que ceux qui en sont exempts. Par ailleurs, les aliments gras et sucrés (gâteaux, biscuits, pâtisseries et chocolat) ont la préférence des personnes avec cette tendance à "l’émotionalité alimentaire". Et sans surprise, ce sont les femmes qui ont plus tendance à manger ces petits snackings "plaisir", quand elles se sentent moins bien et plus particulièrement quand elles sont dépressives.
Les femmes plus susceptibles d’être touchées par l’émotionnalité alimentaire
En effet, les amatrices de ces aliments "plaisir" sont plus nombreuses (1,8 fois plus) chez les émotionnelles alimentaires déprimées que chez celles qui ne le sont pas.
Enfin, les chercheurs notent que "chez les hommes, cette association (ndlr : consommation de snackings et émotionalité alimentaire) est également observée chez ceux qui ne présentent pas de symptômes dépressifs (risque 1,3 fois plus élevé) mais de façon surprenante, elle n’est pas retrouvée chez ceux sans symptômes dépressifs.
En conclusion, ils notent que "ces résultats ouvrent la voie à de futures études sur les relations entre les facteurs psychologiques et le comportement alimentaire dans la cohorte NutriNet-Santé".
L’étude NutriNet-Santé, lancée en mai 2009, est une vaste étude nutritionnelle, la première du genre en France, dont Doctissimo est partenaire. Elle a pour objectif de recruter 500 000 volontaires sur 5 ans. Aujourd’hui, environ 260 000 personnes ont répondu présent à l’appel des chercheurs
Les femmes présentant des symptômes dépressifs sont plus susceptibles de manger des aliments gras et sucrés quand elles cèdent à une pulsion alimentaire dictée par les émotions.
Connues pour leur gourmandise, les femmes seraient-elles effectivement plus à même de manger plus sous l’impulsion d’une émotion négative ? Ou est-ce seulement une vue de l’esprit ? D’ailleurs, que mange-t-on dans ces cas-là ?
Manger sous le coup de l’émotion
Géraldine Camilleri et Sandrine Péneau, de l’équipe de l’étude NutriNet Santé, ont étudié l’association entre le fait de manger sous le coup des émotions et la consommation alimentaire d’une part et l’influence de la symptomatologie dépressive d’autre part. Pour ce faire, elles ont analysé les réponses de 30 240 adultes participant à l’étude NutriNet. Ils avaient répondu à au moins 6 questionnaires alimentaires, dont un plus spécifique sur la propension à "l’émotionalité alimentaire".
Résultat, les personnes présentant des symptômes dépressifs ont plus tendance à manger sous le coup de l’émotion (60%) que ceux qui en sont exempts. Par ailleurs, les aliments gras et sucrés (gâteaux, biscuits, pâtisseries et chocolat) ont la préférence des personnes avec cette tendance à "l’émotionalité alimentaire". Et sans surprise, ce sont les femmes qui ont plus tendance à manger ces petits snackings "plaisir", quand elles se sentent moins bien et plus particulièrement quand elles sont dépressives.
Les femmes plus susceptibles d’être touchées par l’émotionnalité alimentaire
En effet, les amatrices de ces aliments "plaisir" sont plus nombreuses (1,8 fois plus) chez les émotionnelles alimentaires déprimées que chez celles qui ne le sont pas.
Enfin, les chercheurs notent que "chez les hommes, cette association (ndlr : consommation de snackings et émotionalité alimentaire) est également observée chez ceux qui ne présentent pas de symptômes dépressifs (risque 1,3 fois plus élevé) mais de façon surprenante, elle n’est pas retrouvée chez ceux sans symptômes dépressifs.
En conclusion, ils notent que "ces résultats ouvrent la voie à de futures études sur les relations entre les facteurs psychologiques et le comportement alimentaire dans la cohorte NutriNet-Santé".
L’étude NutriNet-Santé, lancée en mai 2009, est une vaste étude nutritionnelle, la première du genre en France, dont Doctissimo est partenaire. Elle a pour objectif de recruter 500 000 volontaires sur 5 ans. Aujourd’hui, environ 260 000 personnes ont répondu présent à l’appel des chercheurs
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Discussions générales / Boire du vin rouge pour lutter contre les caries
« le: juin 05, 2014, 04:08:40 pm »On connaissait dĂ©jĂ les nombreuses vertus du vin rouge sur la santĂ© (protection contre les maladies cardiovasculaires, effet anticancer grâce Ă sa teneur en antioxydants…) et voici que cet alcool protĂ©gerait des caries et autres bactĂ©ries prĂ©sentes dans la bouche.
Le vin rouge, bon pour les dents
Selon une récente étude publiée dans la revue scientifique Journal of Agricultural and Food Chemistry, le vin rouge, consommé avec modération, aurait un effet protecteur contre les bactéries présentes dans la bouche et à l’origine de certaines maladies bucco-dentaires telles que les caries, les gingivites ou encore le déchaussement dentaire.
Pour en arriver à une telle conclusion, des chercheurs suisses et espagnols ont étudié des cultures de bactéries reproduisant l’environnement buccal et les ont immergées dans cinq liquides : du vin rouge avec et sans alcool, du vin rouge mélangé à un extrait de pépins de raisin, de l’eau et de l’éthanol à 12%. Résultat, les trois liquides à base de vin rouge étaient les plus efficaces dans la lutte contre les bactéries bucco-dentaires.
Les polyphénols contre les caries
Les polyphénols, des antioxydants naturels présents dans le raisin et donc dans le vin rouge, seraient à l’origine de ce phénomène : ils ralentiraient le développement de plaques dentaires bactériennes, constituées, comme son nom l’indique, de bactéries et de leurs toxines, de sucres et d’acide. A terme, ce sont ces plaques qui favorisent l’émergence des caries et des gingivites.
Les scientifiques souhaiteraient maintenant se pencher sur le développement de produits dentaires, dentifrices et autres bains de bouche, en y associant les fameux polyphénols contenus dans le vin rouge.
Malgré ses nombreux bienfaits pour la santé, le vin rouge est à consommer avec modération et on préférera le bio à l’industriel. En effet, la consommation excessive d’alcool peut engendrer des effets néfastes pour la santé tels que l’alcoolo-dépendance ou l’endommagement du système nerveux.
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Humour (rubrique dédiée à Princedudésert) / L'horoscope
« le: juin 04, 2014, 11:30:49 pm »
En lisant l’horoscope que publie son magazine féminin préféré, une dame dit d’un ton désolé à son mari :
- Oh ! Que c’est bête ! Que c’est bête !
- Quoi donc ?
- Si tu étais né seulement un jour plus tôt, tu serais intelligent, courageux et passionné.
- Oh ! Que c’est bête ! Que c’est bête !
- Quoi donc ?
- Si tu étais né seulement un jour plus tôt, tu serais intelligent, courageux et passionné.
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Astrologie - Numérologie - Chiromancie - Lithothérapie / Quelques conseils sur la voyance...
« le: juin 02, 2014, 03:56:26 pm »
La connaissance de l’avenir fascine depuis la nuit des temps. Et pour cause, que ce soit au niveau sentimental, professionnel, politique ou stratégique, si l’on savait ce que le futur nous réserve les choses en seraient grandement simplifiées ! L’astrologie peut nous permettre d’anticiper les événements à venir et de prendre les bonnes directions.
C'est un fait, la voyance existe depuis la nuit des temps et se retrouve dans toutes les civilisations. Cependant, elle a toujours été très controversée. Les rationalistes la rejettent et la considèrent comme une tromperie voire une escroquerie dans certains pays...
Le choix du consultant
Quand on y croit, le problème n'est pas tant le concept mais le choix du consultant. Comme dans toutes activités, il est évident qu'il traîne ici et là de nombreux charlatans... En effet, les visions (et son interprétation) sont faites par le voyant : la véracité des informations dépendra de son univers et de sa stabilité psychique.
Si la personne que l'on consulte ne se trouve pas dans de bonnes prédispositions, les prévisions peuvent être « brouillées ». Il est donc conseillé de ne pas consulter au hasard !Mieux vaut faire confiance au bouche à oreille, ou faire appel à des structures sérieuses qui proposent les services de voyants ou médiums triés sur le volet pour éviter les arnaques.
Se mettre en condition
Une fois la première étape passée : place à la psychologie. Ne consultez pas si vous n'êtes pas dans un bon état d'esprit. Vous devez être ouverte et déterminée. La voyance est une démarche personnelle comme psychologique : il faut l'avoir choisie. De plus, si vous êtes septique ou négative, le consultant aura beaucoup de mal à interroger son « guide » sur votre situation. Le cheminement sera plus long car il devra faire tomber toutes les barrières qui entravent ses visions...
L'Ă©coute
Gardez en tête que l'avenir n'est pas figé ! Les prévisions sont là pour vous guider et améliorer votre vie et votre destinée. Il n'y a aucune fatalité : le consultant vous donne les clés pour évoluer dans le bon sens. A vous d'en faire usage. N'oubliez pas, vous êtes maître de votre vie : la voyance est là pour vous aider à faire le point... Pour le reste, c'est à vous de jouer !
C'est un fait, la voyance existe depuis la nuit des temps et se retrouve dans toutes les civilisations. Cependant, elle a toujours été très controversée. Les rationalistes la rejettent et la considèrent comme une tromperie voire une escroquerie dans certains pays...
Le choix du consultant
Quand on y croit, le problème n'est pas tant le concept mais le choix du consultant. Comme dans toutes activités, il est évident qu'il traîne ici et là de nombreux charlatans... En effet, les visions (et son interprétation) sont faites par le voyant : la véracité des informations dépendra de son univers et de sa stabilité psychique.
Si la personne que l'on consulte ne se trouve pas dans de bonnes prédispositions, les prévisions peuvent être « brouillées ». Il est donc conseillé de ne pas consulter au hasard !Mieux vaut faire confiance au bouche à oreille, ou faire appel à des structures sérieuses qui proposent les services de voyants ou médiums triés sur le volet pour éviter les arnaques.
Se mettre en condition
Une fois la première étape passée : place à la psychologie. Ne consultez pas si vous n'êtes pas dans un bon état d'esprit. Vous devez être ouverte et déterminée. La voyance est une démarche personnelle comme psychologique : il faut l'avoir choisie. De plus, si vous êtes septique ou négative, le consultant aura beaucoup de mal à interroger son « guide » sur votre situation. Le cheminement sera plus long car il devra faire tomber toutes les barrières qui entravent ses visions...
L'Ă©coute
Gardez en tête que l'avenir n'est pas figé ! Les prévisions sont là pour vous guider et améliorer votre vie et votre destinée. Il n'y a aucune fatalité : le consultant vous donne les clés pour évoluer dans le bon sens. A vous d'en faire usage. N'oubliez pas, vous êtes maître de votre vie : la voyance est là pour vous aider à faire le point... Pour le reste, c'est à vous de jouer !
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Discussions générales / Poèmes, proverbes et citations
« le: juin 02, 2014, 03:41:11 pm »
"Avoir beaucoup d'amis, c'est n'avoir point d'amis" (Aristote)
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Discussions générales / Poèmes, proverbes et citations
« le: mai 30, 2014, 11:07:47 am »
"la terre nous fait attendre ses présents à chaque saison, mais on recueille à chaque instant les fruits de l'amitié" (Démophile)
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Discussions générales / Le chat coach mental ou médecin ?
« le: mai 28, 2014, 12:36:19 pm »
Le chat est entré dans les foyers en tant que protecteur des greniers à grain, pour lutter contre les rongeurs, lors des débuts de la culture des céréales. C'est donc dans le Croissant fertile, puis en Egypte et dans tout le bassin méditerranéen, que le chat fut d'abord domestiqué.
Pour les navigateurs, la présence d'un chat dans leur vaisseau les protégeait contre les rats : c'était une assurance contre les épidémies. Ce rôle sanitaire a définitivement intégré les chats dans nos maisons, après les grandes épidémies de peste (années 1300).
Mais cette explication purement utilitaire n'est pas suffisante : d'une part, bien d'autres animaux (chiens ratiers, furets) peuvent chasser les rongeurs ; d'autre part, le chat est devenu l'ami de l'homme, jusqu'à l'accompagner hors problèmes domestiques.
Aujourd'hui, il n'a plus aucun rôle de gardiennage, mais il connaît un succès sans précédent : alors que le nombre de chiens diminue chaque année, le nombre de chats a augmenté de 20 % en 5 ans. Ils sont plus de 10 millions en France !
Le chat, pour remplacer le bébé ?
Selon le vétérinaire comportementaliste Joël Dehasse, le chat, même adulte, constituerait un substitut de bébé pour l'homme. Il en a le poids, les bruits, la douceur, la chaleur, le goût des caresses. Et l'homme doit lui prodiguer des soins un peu comme à un bébé.
Le chat nous apprend Ă communiquer
À noter que le miaulement du chat est réservé à l'homme. Les chats ne miaulent pas entre eux. Bien que son registre d'expression soit assez limité, l'homme apprend rapidement à faire la différence entre le « mmr » jovial de salut ou de remerciement, le « mraou » qui quémande une caresse ou son repas, le « mmrraouu » nettement plus insistant, ou la plainte « miieeou » plus ou moins rauque selon l'intensité de l'émotion.
Par ses mimiques du visage et ses postures, il réclame des réponses, il engage le dialogue, et il oblige déjà à comprendre le parler du chat.
Il fait intervenir ses oreilles (dressées, rabattues en arrière ou écartées), ses yeux (écartement des paupières, tension des pupilles), ses postures de jeu, de méfiance, de séduction ou d'impatience.
Il développe ainsi une communication globale avec l'homme, d'autant mieux comprise que le maître est disponible et attentif. Certains maîtres engagent ainsi une véritable discussion, en parlant à leur chat sur un rythme qui devient musical et des intonations qui vont du plus grave au plus aigu. Quand on dit : « Ouuuuh, le gentil minet, on lui a acheté une bouaaaate d'un nouveau patééééé au thon, comme il va se régaleeeeer ! »
On sait l'influence des comptines, à la fois sur le bébé qui écoute, les yeux fixés sur sa maman, en essayant de saisir un sens qui vient peu à peu, et sur sa mère, pour qui ces instants de partage musicaux apportent plaisir et sérénité.
Le chat crée un lien entre les personnes
Il n'y a pas que les personnes solitaires qui parlent à leur chat. Ces conversations sont bénéfiques pour tous ceux qui s'y adonnent. Dans une salle d'attente de vétérinaire, c'est un festival d'exclamations et de compliments échangés entre clients.
Bien entendu, le chat fait jouer. Et comme dans les jeux des enfants, c'est une manière d'apprendre à vivre avec les autres. C'est au cours de jeux avec sa mère que le chaton apprend à contrôler l'intensité de la morsure, voire à l'inhiber complètement, et à rétracter ses griffes. Sinon, gare à la réaction maternelle, qui consiste à plaquer au sol le chaton indocile et à le mordiller lentement jusqu'à ce qu'il cesse tout mouvement.
Le chat peut devenir notre coach mental ou même médecin. Il nous endurcit avec douceur…
Le chat nous lèche, le chat nous caresse…
Le chat recherche en permanence le contact en douceur, avec des surfaces un peu rugueuses (tronc, moquette, bas de meubles), avec ses congénères, et bien sûr avec l'homme. Ce qui tombe bien car l'homme est lui aussi à la recherche de contacts rassérénants.
Mais dans la société humaine, les contacts physiques sont très régulés car ils ont une connotation sexuelle. Ils ne s'effectuent que selon des rituels (danse, bisou familial, accolades viriles des sportifs…) très codifiés. Seuls les enfants en bas âge et nos compagnons domestiques sont tolérés de câlins « gratuits ».
Le chat nous permet ainsi des gestes d'affection, des élans de tendresse, qui nous sont interdits par ailleurs. Les caresses du chat à l'homme se font par léchage ou par frottage de tout son corps. N'oublions pas ce pétrissage régulier, toutes griffes rentrées, généralement accompagnées d'un ronronnement en douceur…
Nuits câlines…
Le chat est quasiment le seul animal accepté dans le lit de l'homme. Parce qu'il est propre, sans odeur. Parce qu'il se laisse caresser. Parce que son pelage est chaud. Et bien sûr parce que son ronronnement nous apaise et nous endort. Le chat installé, le maître du lit n'ose plus bouger, de peur de le chasser.
Les vibrations perçues par nos récepteurs cutanés (corpuscules de Pacini) font secréter des endorphines d'action très courte (quelques minutes) mais puissantes.
Au total, un nuage de molécules calmantes, mêlé de pulsions émotives apaisées. L'écoute du ronronnement est une véritable thérapie, dont l'effet rivalise avec bien des antidépresseurs et des somnifères !
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Discussions générales / Bonne fête des Mères 2014 à toutes les mamans !
« le: mai 18, 2014, 09:45:06 pm »
Dimanche 25 mai les mamans seront à l’honneur en France (elles l'ont été le 11 mai dans d'autres pays comme la Belgique) ! Les plus petits ramèneront de l’école dessins, sculptures ou poteries, gonflés d’orgueil et trop heureux d’offrir leurs œuvres (pas toujours réussies) à la plus belle des mamans ! Et pour les grands alors ? C’est l’occasion d’appeler môman, lui dire qu’on l’aime et s’occuper un peu plus d’elle ! A court d’idée cadeau ? Pas de panique en fonction de son signe astro nous vous révélons quel cadeau lui offrir !
Elles nous ont tout donné, ne comptant ni leurs heures, ni leur fatigue pour nous entourer d’amour, nous protéger et nous promettre le meilleur. C’est grâce à elles que nous sommes devenus des adultes accomplis, elles nous ont tout appris ! Alors bien sûr, une journée ne suffit pas pour les remercier mais c’est quand même l’occasion de leur dire qu’on les aime !
En France, le succès de la fête des mères ne se dément pas, les fleuristes sont sur le qui-vive et cette année encore 60% des sondés pensent offrir un cadeau à leur mère. Alors oui, un petit quelque chose fait toujours plaisir, mais l’important n’est pas là . Derrière la fête commerciale se cache une fête au sens bien plus profond…
Les origines : une fête de la natalité !
On retrouve des traces de la fête des mères dans la Grèce antique, alors autant dire que ça ne date pas d’hier…
En France on fête les mamans depuis longtemps, c’est même Napoléon qui a eu l’idée en premier en 1806. Un siècle plus tard, des affiches ont fait la promotion d’une « Fête placée sous le patronage de toutes les mères françaises ».
En 1918, la ville de Lyon célèbre la journée des mères en hommages aux mères et aux épouses qui ont perdu fils et mari pendant la première guerre mondiale.
Puis en 1929 le gouvernement officialise la journée des mères dans le cadre de sa politique nataliste, puisqu’entre les deux guerres mondiales la France se distingue par sa faible natalité contrairement à l’Allemagne…
Vous l’aurez compris, à ses débuts il s’agissait plutôt d’une fête de la natalité…
Vous pensez que c’est le maréchal Pétain qui a instauré la fête des mères ? Et bien non, il ne fait que l’inscrire au calendrier en 1941… « Travail, Famille, Patrie »… Il faut dire que ça collait plutôt bien !
Quels cadeaux pour quelle maman ?
Vous êtes à court d’idée cadeau pour môman et en plus vous êtes fauché ?
Pas de panique, la fête des mères avant d’être commerciale, est beaucoup plus que tout ça… Inutile de vous ruiner pour faire plaisir à votre mère, pensez juste à elle, ne l’oubliez pas… passez du temps avec elle, et ce, même si la vie vous happe dans son tourbillon…
Le plus beau cadeau que vous puissiez faire à votre mère sera toujours de la choyer, de passer du temps en sa compagnie et de partager de beaux moments avec elle !
Après avoir détaillé cette fête ci-dessus, je souhaite une bonne fête à toutes les mamans qui visiteront et liront ce post !
Elles nous ont tout donné, ne comptant ni leurs heures, ni leur fatigue pour nous entourer d’amour, nous protéger et nous promettre le meilleur. C’est grâce à elles que nous sommes devenus des adultes accomplis, elles nous ont tout appris ! Alors bien sûr, une journée ne suffit pas pour les remercier mais c’est quand même l’occasion de leur dire qu’on les aime !
En France, le succès de la fête des mères ne se dément pas, les fleuristes sont sur le qui-vive et cette année encore 60% des sondés pensent offrir un cadeau à leur mère. Alors oui, un petit quelque chose fait toujours plaisir, mais l’important n’est pas là . Derrière la fête commerciale se cache une fête au sens bien plus profond…
Les origines : une fête de la natalité !
On retrouve des traces de la fête des mères dans la Grèce antique, alors autant dire que ça ne date pas d’hier…
En France on fête les mamans depuis longtemps, c’est même Napoléon qui a eu l’idée en premier en 1806. Un siècle plus tard, des affiches ont fait la promotion d’une « Fête placée sous le patronage de toutes les mères françaises ».
En 1918, la ville de Lyon célèbre la journée des mères en hommages aux mères et aux épouses qui ont perdu fils et mari pendant la première guerre mondiale.
Puis en 1929 le gouvernement officialise la journée des mères dans le cadre de sa politique nataliste, puisqu’entre les deux guerres mondiales la France se distingue par sa faible natalité contrairement à l’Allemagne…
Vous l’aurez compris, à ses débuts il s’agissait plutôt d’une fête de la natalité…
Vous pensez que c’est le maréchal Pétain qui a instauré la fête des mères ? Et bien non, il ne fait que l’inscrire au calendrier en 1941… « Travail, Famille, Patrie »… Il faut dire que ça collait plutôt bien !
Quels cadeaux pour quelle maman ?
Vous êtes à court d’idée cadeau pour môman et en plus vous êtes fauché ?
Pas de panique, la fête des mères avant d’être commerciale, est beaucoup plus que tout ça… Inutile de vous ruiner pour faire plaisir à votre mère, pensez juste à elle, ne l’oubliez pas… passez du temps avec elle, et ce, même si la vie vous happe dans son tourbillon…
Le plus beau cadeau que vous puissiez faire à votre mère sera toujours de la choyer, de passer du temps en sa compagnie et de partager de beaux moments avec elle !
Après avoir détaillé cette fête ci-dessus, je souhaite une bonne fête à toutes les mamans qui visiteront et liront ce post !
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Discussions générales / Les animaux sont bénéfiques pour la santé
« le: mai 15, 2014, 09:33:13 pm »
Il a été prouvé que les animaux domestiques ont un impact bénéfique sur la santé : réduction du stress, de la pression artérielle et du rythme cardiaque, meilleure récupération postopératoire, perception plus optimiste de la vie, réduction de l'anxiété et du sentiment de solitude. Certains thérapeutes prodiguent d'ailleurs à leurs patients la zoothérapie, ou thérapie assistée par l'animal, un programme structuré d'interventions ou de soins avec l'aide ou en présence d'un animal.
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Astrologie - Numérologie - Chiromancie - Lithothérapie / Qu'est-ce que les décans en astrologie ?
« le: mai 14, 2014, 12:19:55 pm »Si on positionne sur une roue zodiacale, les 12 signes (en commençant par le BĂ©lier, puis le Taureau…. jusqu'au Poisson). Ces 12 signes ont :
-un angle de 30° pour former la roue zodiacale de 360°
-un décan de 10° (12*3*10°) pour former cette même roue zodiacale
De 0°00'00" à 9°59'59" : premier décan
De 10°00'00" à 19°59'59": second décan
De 20°00'00" à 29°59'59": troisième décan.
Suivant votre date de naissance, vous appartiendrez à l'un des trois décans pour un signe donné (voir tableau). Les décans sont associés à des traits de caractère qui viennent renforcer ou modifier les caractéristiques essentielles de votre signe zodiacal. Par exemple, un gémeaux du 1er décan sera plus intuitif, celui du 2ième décan plus énergétique, et celui du 3ème décan plus dans l'intellect et le raisonnement.
D'autre part, au cours du temps, vous êtes soumis à l'influence des planètes en transit dans votre signe zodiacal. Cette influence sera variable selon votre appartenance à l'un des trois décans de votre signe.
Si la planète Vénus se trouve à 16 degrés du signe du Sagittaire, alors cette planète aura un impact sur les sagittaires du 2ième décan du Sagittaire et n'aura pas d'influence sur le 1er décan ou 3ième décan. On pourra donc imaginer ce bel Archer du 2ème décan vivre une période magnétique et artistique sous l'influence de Vénus– que ne vivra pas forcément les Sagittaire du 1er et 3ème décan.
S'il est simple de comprendre ce qu'est un décan, il est par contre moins aisé d'interpréter l'impact des décans sur un signe donné ! Il faudra analyser justement et judicieusement avec attention la position des planètes, leurs flux, leurs influences ainsi que tous les éléments astrologiques environnants. C'est pourquoi un astrologue chevronné pourra véritablement déterminer les influences de ces parties du Zodiaque dans votre thème astrologique personnel et vous indiquer dans quelle mesure ces influx auront une incidence, et à quelles périodes.
Voici un tableau récapitulatif sur les décans dans chaque signe occidentale :
Signe DĂ©can Dates Signe DĂ©can Dates
BĂ©lier 1 21/03 - 01/04 Balance 1 23/09 - 03/10
2 02/04 - 11/04 2 04/10 - 14/10
3 12/04 - 20/04 3 15/10 - 23/10
Taureau 1 21/04 - 01/05 Scorpion 1 24/10 - 03/11
2 02/05 - 11/05 2 04/11 - 13/11
3 12/05 - 20/05 3 14/11 - 22/11
GĂ©meaux 1 21/05 - 31/05 Sagittaire 1 23/11 - 02/12
2 01/06 - 10/06 2 03/12 - 12/12
3 11/06 - 20/06 3 13/12 - 22/12
Cancer 1 21/06 - 01/07 Capricorne 1 23/12 - 02/01
2 02/07 - 12/07 2 03/01 - 11/01
3 13/07 - 22/07 3 12/01 - 19/01
Lion 1 23/07 - 02/08 Verseau 1 20/01 - 31/01
2 03/08 - 13/08 2 01/02 - 10/02
3 14/08 - 22/08 3 11/02 - 18/02
Vierge 1 23/08 - 03/09 Poissons 1 19/02 - 28/02
2 04/09 - 13/09 2 01/03 - 10/03
3 14/09 - 22/09 3 11/03 - 20/03
[/list]
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Discussions générales / Si on baille... ce serait pour rafraîchir notre cerveau !
« le: mai 10, 2014, 12:47:52 am »Tout le monde baille ! Les chats, les chiens, les bĂ©bĂ©s, votre belle-mère et les Ă©lĂ©phants d’Afrique…A vrai dire, chez les vertĂ©brĂ©s, seule la girafe, qui aime bien faire son intĂ©ressante, ne le fait jamais.
Mais pourquoi baille -t-on ? C’est ce que se sont demandés depuis des siècles de nombreux scientifiques, sans trouver de réponse valable. Mais Andrew Gallup, un psychologue américain qui planche sur le sujet depuis longtemps, a, lui, une explication assez simple, qu’il vient de publier dans la revue Physiology and Behavior : bailler (donc faire entrer dans sa bouche un grand volume d’air frais), servirait à la thermorégulation de la tête. On baillerait pour rafraîchir notre cerveau, en somme ! Il est parti de cette constatation simple : quand il fait chaud, nous baillons plus souvent. Sauf quand la température extérieure dépasse les 37 degrés : l’air inhalé, alors aussi élevé que notre température corporelle, ne remplirait plus sa fonction de ventilateur.
Son étude la plus récente, menée auprès de 120 volontaires autrichiens, confirme selon lui son hypothèse. Quand il fait trop froid ou trop chaud, le baillement est moins fréquent, alors qu’il s’accentue lorsque l’air est doux, aux alentours de 20 °. Et si cette info vous fait bailler... c’est que vous n’êtes pas une girafe !